Pirates des Caraïbes,
la malédiction du Black
(Pirates of the
″Si tu aimes avoir mal, porte un corset!!″
Film américain (2002). Aventure, Fantastique, Action. Durée :
2h 20mn. Date de sortie : 13 Août 2003 Avec Johnny Depp, Geoffrey Rush, Orlando
Bloom, Keira Knightley, Jack Davenport Réalisé par Gore Verbinski
Dans la mer des Caraïbes, au XVIIe siècle, Jack Sparrow,
flibustier gentleman, voit sa vie idylle basculer le jour où son ennemi,
le perfide capitaine Barbossa, lui vole son bateau, le Black Pearl, puis
attaque la ville de Port Royal, enlevant au passage la très belle fille du
gouverneur, Elizabeth Swann. L'ami d'enfance de celle-ci, Will Turner, se joint
à Jack pour se lancer aux trousses du capitaine.
Mais Will ignore qu'une malédiction frappe Barbossa et ses pirates. Lorsque la
lune brille, ils se transforment en morts-vivants. Leur terrible sort ne
prendra fin que le jour où le fabuleux trésor qu'ils ont amassé sera
restitué...
C’est d’abord une musique. Celle de Klaus Baldet, produite par
Monsieur Hans Zimmer. Il a commis entre autre la bande originale d’Equilibrium
(manifestement au même moment que Pirates…) et k-19. Il arrive à nous projeter
au cœur de la mélée à force de complaintes aventurières. Une vrai réussite pour
les rolistes qui animent leur partie d’un peu de musiques de films.C’est aussi
un acteur : Johnny Depp au sommet de son art ! Hyper convaincant en
capitaine pirate dégingandé au look ahurissant. Les autres rôles ne sont pas
non plus étouffés par sa présence. Les " méchants " le sont
sans que ça en soit risible. Les " gentils " ne sont pas
non plus totalement niais. Orlando " Legolas " Bloom y
démontre mettre un profil interessant pour jouer les Erol Flyn moderne.
Enfin les effets spéciaux sont magnifique. Le budget est là pour y
aider.
Un très bon film ! Je suis amateur de ce
genre de films de Pirates ! Il se place à mon avis bon dauphin de
l’incotournable " pirates " de Polansky, devant " le
bounty " et le flop financier qu’est " l’ile aux pirates ".
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl s'inspire d'une
des attractions principales des parcs à thèmes Disney : Pirates des Caraïbes.
Le film semble lancer une nouvelle mode, Phantom Manor, autre attraction
Disney, faisant également l'objet d'une adaptation cinématographique avec le
film Le Manoir hanté, porté par Eddie Murphy et réalisé par Rob Minkoff.
A l'inverse de ce nouveau phénomène, de nombreux films ont inspiré
les parcs Disney qui en ont fait des attractions à succès. Parmi celles-ci,
Chéri, j'ai rétréci le public (inspiré de Cherie, j'ai rétreci les gosses) et
Star Tour (inspiré de La Guerre des étoiles)...
La piraterie selon Verbinski
Gore Verbinski a immédiatement été séduit à l'idée de mettre en
chantier un film de pirates. Selon lui, "la piraterie est un monde de
liberté, de grands espaces et de mystères. Les sentiments y sont exacerbés,
rebelles. Les pirates sont apparus à une époque d'oppression, où l'on pouvait
être pendu pour le vol d'un simple morceau de pain. Dans ces conditions,
qu'avaient-ils à perdre ? Pour moi, ce film parle de hors-la-loi qui ont un
code d'honneur, d'hommes libres qui n'obéissent qu'à leur conscience et à aucun
autre pouvoir. Aucun des personnages n'a voulu devenir pirate, la vie a fait
d'eux ce qu'ils sont. Pour mener leur existence et obtenir ce qu'ils veulent,
ils ont choisi un autre chemin."
Pirates de Caraïbes : la malédiction du Black Pearl est le quatrième
long-métrage de Gore Verbinski. Avec ce film de pirates à grand spectacle,
l'Américain prouve qu'il est définitivement à l'aise dans tous les registres,
aussi différents soient-ils. Après la comédie burlesque La Souris en 1997,
Verbinski s'essaye à la comédie d'action avec Le Mexicain, puis signe en 2003
le film d'horreur Le Cercle - the Ring, remake de Ring. Entre-temps, il sera
venu prêter main forte à Simon Wells pour la réalisation de La Machine à
explorer le temps - Time machine.
Le producteur Jerry Bruckheimer explique : "Le projet Pirates
des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl était parfait pour Gore parce
qu'il valorise son humour et son grand sens de la narration. Il est aussi
familier des effets visuels. Quelle que soit la contrainte technique, il ne
perd jamais son histoire de vue. C'est un conteur avant tout. Il était comme un
gamin avec ce projet, très pro dans le travail et complètement surexcité."
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl est une
nouvelle preuve de l'attachement que porte le septième art aux pirates et
autres princes de la flibuste. Dans les années 20, le film muet Le Pirate
noir avec Douglas Fairbanks, lance une mode qui se poursuit ensuite au fil
des décennies avec Le Capitaine Blood (1935), Le Cygne noir
(1942), L'Aigle des mers (1940), qui posent les bases du genre de façon
définitive, puis Le Corsaire rouge (1952) de Robert Siodmak, où le film
de pirates se teinte d'humour, sans oublier les nombreuses adaptations de L'Ile
au trésor de Robert Louis Stevenson (celle de Victor Fleming, celle de
Byron Haskin, ou le dessin animé estampillé Disney).
Dans les années 60, le
genre devient mineur, récupéré par le cinéma italien qui le mue en série Z
(Surcouf, le tigre des sept mers, 1966). Les années 70 ne parviennent pas à ressusciter
le film de pirates, qui nécessite souvent un budget élevé, et il faut attendre le
Pirates (1986) de Roman Polanski et L'Ile aux pirates (1995) de
Renny Harlin pour que le septième art s'y intéresse à nouveau, avec plus ou
moins de succès. Si le film de Polanski fait recette, celui de Harlin est
proche du fiasco. La renaissance du film de pirates est laborieuse. En 2003, Pirates
des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl tente à son tour de lui
redonner ses lettres de noblesse, en y incluant une touche de surnaturel...
C'est Johnny Depp qui incarne l'imprévisible et excentrique pirate
Jack Sparrow, à la fois voyou, paresseux, gredin, drôle, charmeur, romantique,
loyal et dôté d'un grand coeur. Le personnage et l'histoire ont immédiatement
séduit Johnny Depp. "Qui refuserait de jouer un pirate ?",
s'interroge-t-il. "Quand j'ai lu le scénario, j'ai été heureusement
surpris : cela allait plus loin encore que ce que j'avais imaginé ; il y avait
en plus beaucoup d'humour et assez de place pour que les acteurs puissent
construire leurs personnages."
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl a été
l'occasion pour Johnny Depp de participer à une superproduction hollywoodienne
estampillée Disney, lui qui est d'ordinaire plus familier des films
indépendants. Là encore, la surprise a été de taille pour l'Américain, qui
"ne croyais pas que l'on pouvait faire des blockbusters avec un esprit
d'artisan et une qualité relationnelle pareille."
Afin de créer le personnage excentrique de Jack Sparrow, Johnny Depp
a eu de nombreuses sources d'inspiration : Keith Richards, le guitariste des
Rolling Stones, le personnage animé Pépé le Putois, ou encore les rastas
modernes. "Après tout, les pirates étaient un peu les rock stars de leur
époque !", résume l'acteur.
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl met en vedette
un quatuor de comédiens issus de générations différentes. Johnny Depp et Geoffrey
Rush sont les deux plus expérimentés du lot, Orlando Bloom et Keira Knightley
faisant figure de petits nouveaux au côté de ces deux grandes vedettes du
septième art. Orlando Bloom a accédé à la reconnaissance internationale grâce à
son interprétation de l'Elfe Legolas dans la trilogie du Seigneur des anneaux :
la communauté de l'anneau. Quant à Keira Knightley, après un rôle dans Star
wars : épisode 1 - La Menace fantôme, elle s'est notamment illustrée dans la
comédie footballistique Joue-la comme Beckham.
Les deux scénaristes de Pirates des Caraïbes : la malédiction du
Black Pearl ont été les collaborateurs idéaux pour apporter l'aspect surnaturel
et déjanté du long-métrage. Ted Elliott et Terry Rossio sont en effet à l'origine
du scénario de Shrek, le film d'animation délirant des studios DramWorks.
Les effets spéciaux de Pirates des Caraïbes : la malédiction du
Black Pearl, qui voient les pirates se transformer en effrayants squelettes à
la lumière de la lune, ont été signés par ILM (Industrial Light and Magic), la
société de Georges Lucas désormais reconnue internationalement dans le domaine.
Le réalisateur Gore Verbinski a souhaité apporter un maximum
d'authenticité à l'apparence des pirates du film. "Je ne voulais pas
qu'ils ressemblent à ce qui a déjà été vu", explique-t-il. "Pas de
crochet à la place d'une main, pas de bandeau sur l'oeil, ni de maillot rayé. A
l'époque, les gens ne vivaient pas vieux. Les bateaux coulaient, il n'y avait
quasiment pas de médecine ni d'hygiène personnelle. C'était assez répugnant !
Nous ne voulions pas de pirate d'opérette avec des dents bien blanches. Nous
les avons d'ailleurs bien servis à ce niveau !"
Pour le film, 400 perruques et postiches ont spécialement été créés
pour l'occasion. En outre, l'acteur Orlando Bloom a dû subir la pose
d'extensions capillaires.
Le tournage de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl
a débuté le 9 octobre 2002. Après deux semaines en studio, l'équipe a tourné à
Los Angeles et aux Iles Grenadines. Le tournage en haute mer s'est avéré très
difficile pour les organismes. Outre le mal de mer, il a fallu gérer le fait
que les décors aux Caraïbes s'échelonnaient sur près de 60 kilomètres de long !
Les bateaux servaient ainsi à la fois de lieu de tournage et de moyen de
transport, plus de 300 personnes de l'équipe effectuant une heure et demie
quotidienne de trajet en mer.
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl est une fable
imaginaire, mais la production du film a néanmoins tenu à se documenter au
maximum sur l'histoire des pirates. Pour cela, elle a fait appel à l'historien
Peter Twist, spécialisé dans l'Histoire des années 1500 à 1900, qui a beaucoup
conseillé sur les coutumes , le style vestimentaire ou la navigation de
l'époque...
Les comédiens de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black
Pearl ont reçu l'aide des maîtres d'armes Mark Ivie et Robert Anderson pour se
perfectionner au maniement de l'épée. Le dernier nommé a eu l'honneur
d'entraîner et de doubler Errol Flynn sur le long-métrage Le Vagabond des mers.
Quelques animaux évoluent aux côtés des
comédiens de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. Le singe
principal du film, compagnon du Capitaine Barbossa, a du passer de longues
heures avec Geoffrey Rush pour s'habituer à l'acteur. Il a également du
assister à sa métamorphose en Barbossa afin de passer outre la
"supercherie" des maquillages. Le perroquet de Cotton, le pirate
muet, a quant a lui été interprété par trois volatiles différents. L'un d'eux
s'est montré particulièrement turbulent, s'attaquant régulièrement au lobe de
l'oreille de l'acteur !
Le titre du long-métrage de Gore Verbinski était à l'origine Pirates
des Caraïbes, mais celui qui a finalement été adopté par la production est
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. La raison : ce nouveau
titre facilite l'appelation d'éventuelles suites en cas de succès au
box-office.
Le 10 septembre 2002, un incendie est survenu sur le plateau de
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. Personne n'a été blessé
mais les dommages matériels se sont élévés à 350 000 dollars.
Budget : 125 millions de $
Recettes : 319,3 millions de $ et c’est partie pour une trilogie !!!!
Quelques animaux évoluent aux côtés des
comédiens de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. Le singe
principal du film, compagnon du Capitaine Barbossa, a du passer de
longues heures avec Geoffrey Rush pour s'habituer à l'acteur. Il a
également du assister à sa métamorphose en Barbossa afin de passer outre la
"supercherie" des maquillages. Le perroquet de Cotton, le pirate
muet, a quant a lui été interprété par trois volatiles différents. L'un d'eux
s'est montré particulièrement turbulent, s'attaquant régulièrement au lobe de
l'oreille de l'acteur !
Sources : www.allocine.com
et www.scifi-universe.com
DON VITO CORMOMONE
Directed by Gore
Verbinski
Writing credits
Ted Elliott (written by) &
Terry Rossio (written by) and
Jay Wolpert (written by)
Cast (in credits order)
Johnny Depp .... Captain Jack Sparrow
Geoffrey Rush .... Pirate Captain Barbossa
Orlando Bloom .... Will Turner
Keira Knightley .... Elizabeth Swann
Jonathan Pryce .... Governor Swann
Lee Arenberg .... Pintel
Brye Cooper .... Mallot
rest of cast listed alphabetically
Gregory R. Alosio
Paul Cagney .... Sailor
Félix Castro .... Jack's Crew
Karl Champley .... Sailor
Mackenzie Crook
Jack
Lucinda Dryzek .... Young Elizabeth
Greg Ellis .... Officer Groves
Jerry Gauny .... Barbossa's Crew
Trevor Goddard .... Grapple
Mike Heberecht .... Jack's Crew
Martin Klebba .... Marty
Joe Labero .... Card-player
Vince Lozano .... Jacoby
Lauren Maher .... Scarlett
Christian Martin .... Stearsman
Rudolph McCollum .... Jack's Crew
Tobias McKinney .... Bounty
Kevin McNally (I) .... Joshua Gibb
Paula J. Newman .... Estrella
Dan O'Bannon .... Barbosa Crew Member
David Patykewich .... Barbossa's Crew
Lee Perkinson .... Officer (as Lee Perkins)
Gerard J. Reyes .... Jack's Crew
Maxie J. Santillan Jr. .... Barbosa Crew as 'Maximo'
Scott Shield .... Jack's Crew
Guy Siner .... Harbormaster
Isaac C. Singleton Jr. .... Bosun
Dylan Smith (III) .... Young Will Turner
Christopher Sullivan (III) .... Jack's Crew
Craig Thomson (III) .... Jack's Crew
Michael Sean Tighe
Fred Toft .... Jack's Crew
Jose Zelaya .... Barbossa's Crew
Produced by
Jerry Bruckheimer .... producer
Paul Deason .... executive producer
Chad Oman .... executive producer
Pat Sandston .... associate producer
Mike Stenson .... executive producer
Original Music by
Alan Silvestri
Cinematography by
Dariusz Wolski
Film Editing by
Stephen E. Rivkin (as Stephen Rivkin)
Arthur Schmidt
Craig Wood
Casting by
Kate Dowd
Ronna Kress
Production Design by
Derek R. Hill
Brian Morris (I)
Art Direction by
Richard Earl
Derek R. Hill
James E. Tocci
Set Decoration by
Larry Dias
Costume Design by
Penny Rose
Makeup Department
Greg Cannom .... special makeup effects artist
Joel Harlow .... second makeup artist
Mary Kim .... makeup effects production supervisor: Captive Audience Productions
Inc.
Ve Neill .... makeup department head
Douglas Noe .... third makeup artist
Brian Sipe .... special makeup supervisor: Captive Audience Productions
Keith VanderLaan .... makeup effects creator/producer: Captive Audience
Productions
Art Anthony .... special makeup effects artist (uncredited)
Production Management
Bruce Hendricks .... unit production manager
Douglas C. Merrifield .... unit production manager
Second Unit Director or Assistant Director
Peter Kohn .... first assistant director
Andrew Ward (II) .... second second assistant director
Art Department
Robert A. Blackburn .... construction coordinator
Max E. Brehme .... set dresser
Oscar Delgadillo .... set dresser
Monica Frommholz .... set decorating coordinator
Hector M. Gonzalez .... on-set dresser
Héctor M. González .... on-set dresser
Will Grant .... set dresser
Shannon Hart .... buyer
Grey Hill .... sculptor
Gregory S. Hooper .... set designer
Teri Anne Kopp .... assistant props
Bert Rodriguez .... propmaker
Tim Scheu .... set dresser
Christopher Woodworth .... scenic supervisor
Sound Department
Lee Orloff .... production sound mixer
Addison Teague .... sound effects editor
Special Effects by
Ken Estes .... special effects foreman
Terry D. Frazee .... special effects coordinator
Daniel P. Murphy .... special effects technician
Edward V. Pannozzo .... special effects estimator
Kai Shelton .... special effects technician
Visual Effects by
Lee Croft .... digital paint and rotoscope artist: ILM
Leigh Ann Fan .... visual effects production coordinator
John Knoll .... visual effects supervisor
Paula Nederman .... visual effects coordinator
Stunts
Mark Aaron Wagner .... stunt double: Orlando Bloom
Alex Chansky .... stunts
Tim Connolly .... stunts
John Dixon (III) .... utility stunts
Tanner Gill .... stunts
Dean Gimes .... utility stunts: Pirate/Marine
Kris A. Jeffrey .... marine captain & water safety
Oliver Keller .... utility stunts
Martin Klebba .... stunts: Jacks Crew
Charlotte Kyle .... stunt department assistant
Theo Kypri .... utility stunts
Christopher Leps .... stunts
Kurt D. Lott .... utility stunts
Hugh A. O'Brien .... utility stunts
George Marshall Ruge .... stunt coordinator
Gary Ray Stearns .... stunts
Mark Aaron Wagner .... stunt double: Orlando Bloom
Jason Ybarra .... utility stunts
Other crew
Sande Alessi .... extras casting
Eric Amundsen .... assistant camera: second unit, St. Vincent and the
Grenadines
Bob Badami .... music supervisor
Kristan Berona .... extras casting
Michael Betz .... production assistant
Kevin Blauvelt .... rigging electrician
Ursula Brauner .... lead animal trainer
Anne Cabral .... assistant production coordinator: Caribbean
John K. Campbell .... assistant: Mr. Bruckheimer
Christopher S. Capp .... assistant editor
Lee Clayton (I) .... costume cutter
Sarah Clifford (I) .... additional set production assistant
Mark Davies (III) .... shipping coordinator
Kelly DeTample .... production assistant
Kristin Dehnert .... location manager
Carolyn Dessert .... wardrobe supervisor
Stan Eutsey .... production assistant: second unit
Brendan Finnigan .... production assistant
Dana E. Glauberman .... assistant editor
David Goldsmith (III) .... video assist operator
Zoila Gomez .... production coordinator
Mark Harden .... animal coordinator
Stephanie L. Harmatz .... assistant: Mr. Deason
Stephanie L. Harmatz .... production assistant
Stacy Horn .... set costumer
Ryan Kavner .... assistant to producer
Ernst W. Laurel .... second assistant accountant: Caribbean
Rich Lee (III) .... previsualization supervisor
Barrett J. Leigh .... production secretary
Harry Lu .... armorer
David Lückenbach .... steadicam operator
Kindra Marra .... first assistant editor
Robert Mazaraki .... assistant production coordinator
Chandra Moore .... costumes
Simon Morgan .... first assistant editor
Edward V. Pannozzo .... estimator: marine unit
Jess Place .... production assistant
Dylan Quirt .... production assistant
Lee Rase .... production secretary
Howard Samuelsohn (I) .... dialect coach
Steffen Schlachtenhaufen .... production assistant
Ryan Speckman .... production assistant
Alexa M. Stone .... assistant costume designer
Miles Teves .... visual development
Brian 'Wheat' Villegas .... grip
Troy Waters .... barge master
S. Quinn .... pre-visualization coordinator (uncredited)